Déjà les fêtes de fin d’année. De beaux moments en famille, où l’on se retrouve. Mais également des cadeaux, qui représentent 57 % des émissions de gaz à effet de serre totales émises par Noël. Alors, comment faire plaisir tout en préservant la planète ? La seconde main semble la solution à privilégier. On en parle dans cet article.
Lancer sa boutique de seconde main est une riche et belle aventure. C’est un engagement, fruit de convictions pour le présent et l’avenir. Mais le cheminement qui m’a amenée à cette idée, et à la découverte approfondie de cette façon plus éthique et originale de consommer la mode, a été une succession d’étapes et de prises de conscience. Je vous explique comment est né ce projet.
Cela fait déjà quelques mois que nous avons franchi le pas. Nous avons osé casser les codes des boutiques traditionnelles, d’abord à des fins expérimentales, puis de façon définitive. Comment ? En abolissant, au sein du shop situé à Chambéry (Savoie), la notion de genre par la généralisation des portants mixtes.
Aujourd’hui, notre équipe vous partage ses coups de cœur du moment : des boutiques situées dans le centre-ville de Chambéry, qui savent nous surprendre. Des lieux que nous aimons, que nous chérissons et qui portent des valeurs communes à La Belle Armoire.
Et oui, comme tout shop, il nous arrive parfois d’avoir des vêtements de seconde main que nous ne vendons pas. Dans ces cas-là, nous proposons systématiquement au propriétaire de venir les chercher à la boutique. Mais comment procédons-nous quand il ne souhaite pas les récupérer ?
Cela fait bientôt trois ans que notre boutique de seconde main vous accueille à Chambéry. Du concept initial ont découlé beaucoup de nouvelles idées, qui ont fait naître des projets, puis des services complémentaires.
La seconde main est en pleine expansion, avec une croissance annuelle qui avoisine les 20%, pouvant ainsi laisser présager un avenir radieux à cette nouvelle manière de consommer la mode. Les raisons de cette adoption massive sont multiples, notamment économiques et écologiques, poussant chacune et chacun à s’interroger sur son pouvoir d’achat, son empreinte carbone et l’impact sociétal de ce que nous achetons.
Chaque mois, vous êtes nombreux et nombreuses à découvrir nos belles pépites de seconde main, dans notre boutique du centre-ville de Chambéry ou sur notre friperie en ligne. Aujourd’hui, nous avons donc décidé de répondre aux cinq questions que vous nous posez le plus souvent. Cela nous permet d’ailleurs, par la même occasion, de vous expliquer les tenants et les aboutissants de notre concept, de notre politique tarifaire et notre mode de fonctionnement.
Et oui, comme tout shop, il nous arrive parfois d’avoir des vêtements de seconde main que nous ne vendons pas. Dans ces cas-là, nous proposons systématiquement au propriétaire de venir les chercher à la boutique. Mais comment procédons-nous quand il ne souhaite pas les récupérer ?
Lorsque je me suis lancée, je ne me rendais pas compte que les chiffres restaient aussi contrastés. Selon les données de 2019, les femmes représentent seulement 27% des dirigeants d’entreprise en France, contre 73% d’hommes. Elles ne représentent aussi que 30% des créateurs de start-up.
Régulièrement, nous organisons des shooting photos dans ou à proximité de notre boutique de Chambéry pour vous faire découvrir nos dernières trouvailles : un rituel convivial que nous répétons plusieurs fois par mois. Mais qui sont nos modèles ?
Le marché de la seconde main dépassera celui de la fast-fashion en 2028, selon une étude du site américain thredUP. Cela vous étonne ? Pas nous. Ce rapport prévoit une perspective heureuse pour la seconde main, modèle de consommation de plus en plus plébiscité par les consommateurs, notamment par les millennials.
